Jean-Louis Gasset, l’entraîneur de l’OM, et son milieu de terrain Jordan Veretout, étaient en conférence de presse d’avant-match avant la rencontre de demain soir entre l’Atalanta et Marseille. Les Marseillais, tenus en échec à l’aller (1-1) au Vélodrome, vont tenter de gagner leur ticket pour la finale d’Europa League. Un groupe dans lequel figure Leonardi Balerdi, élu Olympiens du mois d’avril.
Veretout et coéquipiers vont « tout donner » à Bergame pour aller en finale
Premier à prendre la parole, Jordan Veretout est revenu sur le match aller. « Je ne pense pas qu’ils nous ont sous-estimé, il faut dire aussi qu’on a fait le match qu’on voulait faire, presque parfait. Il a manqué la victoire, mais on est l’OM, on a montré qu’on pouvait mettre de nombreuses équipes en difficulté. C’est sûr qu’on a fait le match qu’on voulait, il faudra faire le même demain pour l’emporter. »
« Il n’y a pas de match… C’est le rêve d’un footballeur de jouer des matchs comme ça, le rêve d’un footballeur de gagner des titres. On est là pour ça, on est l’OM. Amener les supporters à Dublin ce serait déjà énorme, après on verra. Ce n’est pas tous les jours qu’on joue une demie de Coupe d’Europe. On va tout donner. », a réagi le milieu international français sur l’importance de la rencontre.
Gasset a des regrets sur le match aller
Jean-Louis Gasset a pris la suite de son milieu et est sur la même ligne. Aussi, le technicien a avoué avoir quelques regrets concernant le match aller. « On a décortiqué le match aller, où on a regardé les yeux dans les yeux une équipe impressionnante à l’extérieur. Si on avait ajouté les 2-3 petits détails pour gagner le match, on l’aurait fait. On n’a pas pu, mais on est à la mi-temps. Demain c’est un autre match qui va débuter dans un stade difficile. »
Le groupe marseillais sont à une marche de la finale à Dublin. « Aujourd’hui ils sont conscients qu’ils sont à une victoire d’un match historique. Dans cet effectif il y a beaucoup de joueurs d’expérience, qui ont joué des grands matchs, pour des grands clubs. Ils savent qu’un match comme ça ce n’est pas tous les jours. », a poursuivi Gasset.